Droits de l'homme et liberté religieuse: cent millions de chrétiens dans le monde seraient persécutés

Chrétiens sous surveillance 3377f0b8-effe-11de-b994-ed8a8c8ddad1 A l'occasion de la célébration de la fête de Noël, deux journaux français, l'hebdomadaire Valeurs Actuelles et le quotidien le Figaro se sont penchés le 24 décembre dernier sur la vie de ces chrétiens qui ne peuvent vivre leur foi que dans la méfiance et sous surveillance. Ils seraient plus de 5% dans le monde, soit plus de cent millions.

  • en Asie,ils sont les plus nombreux, proportionnellement, à se cacher pour se protéger et vivre leur foi: 62 millions en Chine, où des évêques sont emprisonnés, 7 millions au Vietnam, où les catholiques feraient preuve d'un dynamisme "hors du commun", 
  • dans le sous-continent indien, où les conflits entre chrétiens, musulmans et hindous se multiplient,
  • sur le continent africain, au Soudan, communautés musulmanes du nord et communautés chrétiennes du sud sont en guerre, dans un pays où la loi est celle de la charia,
  • au proche orient, en Irak, près d'un million de chrétiens y vivaient leur foi. Aujourd'hui, il n'en resterait que moins de la moité, persécutés quotidiennement, qui meurent dans des attentats, le dernier en date du 23 décembre, ou sont obligés de fuir vers les pays limitrophes. Une véritable épuration religieuse y serait en cours.
Depuis 1947, l'association "Aide à l'Eglise en Détresse" apporte une aide aux chrétiens persécutés dans le monde tout comme le site "Portes Ouvertes", plus récent, qui donne une information en temps réel sur les méfaits commis contre eux . Aujourd'hui avec ces deux articles intitulés "cent millions de chrétiens sous surveillance" et "chrétiens en terre d'islam, le temps des soufrances", le constat s'impose: les chrétiens sont vraiment persécutés dans le monde.


Risque sécuritaire: la piraterie maritime place le golfe d'Aden sous les feux de la rampe...

LE FIGARO 15 AVRIL 09 PIRATERIE20090415PHOWWW00108 En 2008, sur un total de près de 300 actes recensés dans le monde, 95 se sont produits le long des côtes somaliennes, soit une augmentation de 200%. Sur les 14 incidents relatés en avril par l'IMB reporting centre, 13 ont eu lieu au large de la Somalie, un seul a été répertorié au large de l'Indonésie.Le 10 novembre 2008 a été créée la force ATALANTE, opération navale de l'Union Européenne contre la piraterie, qui regroupe officiellement, par ordre alphabétique, l'Allemagne, la Belgique, l'Espagne, la France, la Gréce, les Pays Bas, le Royaume Uni, la Suède. Cette alliance a été constituée pour tenir compte du déplacement du centre de gravité des opérations de piraterie du détroit de MALACCA vers le golfe d'ADEN, où les attaques se multiplient. Pour protéger surtout "les navires de commerce qui passent par le golfe d'Aden. Vingt mille bâtiments marchands..."y "...circulent chaque année....par où passent 30% de l'approvisonnement pétrolier de l'Europe", comme le précise le mensuel le Spectacle du Monde du mois de mars dans un article bien documenté intitulé "Piraterie: pavillon noir sur l'océan".

 Le quotidien français le FIGARO dans son édition du 15 avril dernier (voir illustration ci jointe), souligne que "le butin des pirates somaliens se monte désormais à 18 navires et près de 300 marins".Le 27 mars, le magazine télévisé THALASSA a consacré une émission de 110 mn sur ce sujet d'actualité, détaillant les opérations en cours, mais aussi présentant les pirates et leurs bases installés sur cette côte d'Afrique de l'Est, en état d'instabilité permanente pour la SOMALIE en particulier et pour les deux pays qui y ont fait sécession, le SOMALILAND et le PUNTLANDnouveau royaume des pirates.
Nul ne peut dire combien de temps va durer cette véritable guerre, ni combien de temps les flottes européennes vont pouvoir maintenir leur pression sur une zone de surveillance de 2 millions de km2!
Il faut espérer que les gouvernements européens ont mis leurs plus fins diplomates au travail pour régler ce problème maritime dont la solution est...sur terre et qui passe par la résolution diplomatique du conflit existant entre les "pays" dissidents et leur mère somalienne.Il faut regarder avec attention les conclusions de la Conférence de Bruxelles qui s'est tenue jeudi 23 avril sous l'égide des Nations Unies et qui a réuni les donateurs de l'Union Européenne et de l'Union africaine, pour savoir quelle solution a été envisagée.


Risque pays: quels risques géopolitiques en 2009?

Nicolas Baverez, économiste, historien, disciple de Raymond Aron, a signé un article dans le Figaro Magazine du 27 décembre 2008 intitulé "2008, l'année de toutes les crises".
Cette année, écrit il, "marque donc la fin d'un cycle économique...creuse les lignes de faille divisant la planète et souligne la vulnérabilité des nations et des continents les plus faibles ".
Les conséquences de la crise financière de 2008, trouvent leurs principales illustrations dans les exemples ci dessous qui trouveront leur prolongement, voire leur expression en  2009:

  • poursuite de la montée du terrorisme: avec les attentats récurrents du Pakistan, de l'Afghanistan et de l'Inde, dont les experts pensent que ceux de Mumbai sont l'équivalent pour l'Inde de ceux qu'ont connus les Etats Unis le 11 septembre 2001.
  • instabilité due à la faiblesse des Etats rongés par des facteurs externes et internes: montée de l'islamisme radical (Pakistan, Irak, Kosovo...), actes de piraterie (Somalie),  guerres civiles (Congo), conséquences de la corruption (Thaïlande), craintes pour la sécurité des états ( conflit israëlo palestinien) etc.

Accusé souvent de pessimisme, Nicolas Baverez ne manque pourtant pas de mettre en évidence que de ce "chaos" va naître un monde nouveau, le "monde multipolaire du XXIème siècle", dont les prémisses se font déjà sentir: naissance de l'Europe comme acteur clé aux cotés des Etats Unis et de la Chine, élection de Barack Obama, élargissement du G8 en G 20 ...


Lutte contre la piraterie maritime: l'Union Européenne s'engage

Aleqm5jnpmcvmmmjxtijscbvqlikywxofa Dans son dernier relevé, l'International Maritime Bureau (IMB)Piracy Reporting Center fait état de plus de 199 actes de piraterie recensés dans les neuf premiers mois de l'année 2008. Au global ce sont plus de 580 membres d'équipages qui ont été pris en otage, 9 tués, 9 kidnappés, 7 disparus, présumés morts.
Devant l'augmentation drastique de ces attaques, l'Union Européenne a décidé de réagir de façon commune en prenant une décision historique, le lundi 10 novembre 2008: la création de l'Opération Eunavfor Atalanta . Elle s'appliquera au golfe d'Aden et à la Somalie, la région la plus sensible pour les navires européens. S'appuyant sur la résolution 1838, rédigée par la France et adoptée à l'unanimité en octobre dernier par les quinze membres du Conseil de Sécurité de l'ONU, qui "appelle tous les Etats intéressés par la sécurité des activités maritimes à prendre une part active dans la lutte contre la piraterie au large des côtes de la Somalie, en particulier en déployant des navires et des avions militaires", les ministres de la Défense de l'Europe ont ainsi décidé la première opération aéronavale de leur histoire.
Cette force, qui complètera le dispositif actuel comme le précise l'article de l' Agence France Presse,  devrait être opérationnelle d'ici le mois de décembre.

L'Allemagne, la France, le Royaume Uni et l'Espagne auraient déjà annoncé leur intention d'y participer.


Evaluation de la menace: les contraintes sécuritaires imposées par les Etats Unis exaspèrent les entreprises de transport

Srete_securite_transports_4697006 Deux aspects sont à considérer dans l'analyse intitulée "Sûreté et sécurité freinent l'acheminement"parue dans le quotidien économique français les Echos. Dans son dossier transports du mardi 11 mars 2008, l'auteur met en évidence d'une part les procédures qui obligent les transporteurs à appliquer des mesures de plus en plus drastiques, d'autre part les menaces qui pèsent sur les "chaînes d'échanges mondialisées".
Un constat tout d'abord: ces règles sont imposées par les États Unis et s'apparentent de plus en plus à "des barrières non tarifaires ". Ces mesures, résume dans son éditorial Philippe Bonnevie, délégué général de l'Association des Utilisateurs de Transport de Fret (AUTF), "...pénalisent la compétitivité de nos industries par des surcoûts logistiques et surtout détériorent la qualité de service due par les industriels à leurs clients".
Deuxième constat: cette règlementation s'applique à tous les transporteurs, maritimes, routiers et aériens au travers de textes qui s'imposent pour le transport maritime à 148 pays et pour tous les pays adhérents à l'Organisation de l'Aviation Civile Internationale (OACI) pour le transport aérien, relayés par les textes européens dans les modalités d'application. L'Europe est accusée par les professionnels de ne pas s'opposer à ces mesures unilatérales et de ne pas faire de contrepropositions pour défendre les transporteurs, de plus en plus pénalisés financièrement: plus "d'un milliard de dollars en mise initiale puis 730 millions par an pour les armateurs....entre 5 et 10 par an pour les clients du fait des surcoûts liés aux retards!"
Pour ce qui est des menaces, le tableau ci joint, extrait de l'article, localise sur la carte les points sensibles susceptibles d'être affectés par:

  • le risque sécuritaire avec la piraterie maritime: une localisation plus précise sur cette carte satellite de l'ICC (International Chamber of Commerce), du département des affaires maritimes, montre bien que l'Asie du sud est et les côtes est de l'Afrique sont les plus touchées,
  • le risque terroriste susceptible d'affecter les canaux de Panama et de Suez ainsi que le golfe persique,
  • le risque sanitaire avec la flambée de la grippe aviaire, comme l'indique la dernière mise à jour en date du 18 mars dernier de l'Organisation Mondiale de la Santé,
  • le risque souverain qui pourrait amener l'Iran à décider de pratiquer des sanctions commerciales à l'encontre de certains pays.

La mondialisation des échanges augmente bien sûr les risques de tous ordres, mais ne faudrait il pas que l'Europe procède d'abord à une analyse fine des menaces pouvant réellement peser sur ces secteurs du transport afin de contraindre l'administration américaine à adapter ses réglementations excessives à la réalité de la menace pour que l'économie mondiale "déjà éprouvée puisse continuer à fonctionner" normalement?


Risque pays: les prévisions pour 2008.

Am08leadersimage_2 Lors du dernier Forum mondial de Davos qui s'est tenu du 23 au 27 janvier 2008, les experts du monde entier se sont exprimés sur tous les risques qui peuvent menacer la planète en utilisant une typologie presque aussi complète que celle qui est préconisée par l'auteur de ces lignes depuis dix ans(!). Le rapport global détaille risque par risque en comparant avec l'an passé, ce qui est attendu cette année, sur les plans géopolitique, économique et financier "systémique", scientifique et technologique, climatique et environnemental, énergétique, sociétal. Les prévisions ne sont pas plus optimistes que l'an passé à la même époque. L'incertitude sur le court et moyen terme est aussi grande qu'elle l'a été depuis dix ans, tant sur le plan économique où personne ne peut prédire comment va réagir l'économie mondiale face à la crise actuelle, que sur le plan géopolitique où une escalade des tensions est à craindre sur les zones de conflits en Iran, en Irak, en Afghanistan. De nombreux tableaux complètent l'ensemble des évaluations et leur donnent toute leur crédibilité. La conclusion met en exergue l'absolue nécessité d'une concertation et d'une action globale qui prenne en compte dés à présent les risques sur le long terme: l'inaction ne fera qu'affaiblir notre capacité à faire face aux nouveaux défis qui nous attendent.


Risque terroriste: 40% de morts en plus en 2006 par rapport à 2005

Sge_qqp91_020306121937_photo01 Selon le dernier rapport sur le terrorisme publié par le Département d'Etat américain, le nombre des actes de terrorisme a augmenté en 2006 de 25% dans le monde par rapport à 2005. Pourtant "la coopération internationale en matière de lutte contre le terrorisme s'améliore": les attentats ont diminué en Europe,en Eurasie, en Asie de l'est où la coordination de la lutte anti-terroriste s'est nettement renforcée entre la Chine, l'Australie, les Philippines, le Japon et l'Indonésie.
Mais c'est la lutte contre Al Quaïda qui semble le plus préoccuper le département d'État.
"Le rapport indique que, malgré leur affaiblissement, le réseau Al-Qaïda et ses groupements affiliés continuent de faire peser la menace la plus forte sur la sécurité nationale des États-Unis, en partie à cause d'un changement de tactique, à savoir le recours accru à des groupements locaux qui agissent au nom d'Al-Qaïda."Sont cités les pays qui soutiennent le terrorisme, l'Iran, la Syrie, le Liban,la Corée du nord, le Soudan mais aussi Cuba.
Le continent africain enfin, n'échappe pas à l'analyse au prétexte que le terrorisme s'y développe car "l'Afrique, bien que touchée par la violence d'origine civile et ethnique, n'a guère fait l'objet d'attentats terroristes, mais elle continue d'être une cause de préoccupation en raison de la présence de groupes liés au réseau Al-Qaïda, de l'instabilité régionale et de la faible surveillance des frontières que des terroristes pourraient franchir facilement."
Ce rapport, finalement pessimiste compte tenu des chiffres annoncés, ne stigmatise t'-il pas l'échec de la politique américaine contre le terrorisme?


Le blog qui monte....

Visuel Robert Contrucci, responsable du Guide des Sites pour Managers m'adresse le message ci dessous:
"Nous avons le plaisir de vous informer que votre blog "Risques pays" a été retenu par la "Commission de sélection des sites" de l'AAE IAE (Association des Anciens Elèves de l'IAE de Paris . Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), pour entrer dans la sélection de sites du "Guide des sites pour Managers (AAE IAE de Paris)".
C'est un bel encouragement à poursuivre la rédaction de notes que vous êtes de plus en plus nombreux à lire: merci donc à vous tous, lecteurs fidèles!


Risques pays: quelles prévisions pour 2007?

Globalrisksimage Alors que la réunion annuelle du Forum Economique Mondial de Davos se termine, se tenait au même moment la grande messe annuelle de la Coface sur le thème des risques pays. Il est intéressant de considérer les prévisions du second à la lumière des conclusions du premier. Dans son rapport 2007 sur les risques mondiaux, rédigé par des experts de tous pays du WEF, sont analysés les risques selon une classification (encore incomplète) prônée et enseignée depuis l'année 2000 par l'auteur de ce blog, qui prend en compte en plus des traditionnels risques économiques et géopolitiques (les plus nombreux), les risques environnementaux, sociaux et technologiques.
Il s'agit en fait de l'étude de l'occurrence de ces risques, considérés davantage comme des menaces plutôt que comme des opportunités, illustrée dans un baromètre du risque global sectoriel qui fait apparaitre les grandes craintes, classées par types de risques parmi lesquels:
    - pour l'économie: risque de crise pétrolière, d'atterrissage brutal de l'économie chinoise, de crises fiscales, d'aggravation des déficits américains,
    - pour l'environnement: en raison du réchauffement climatique et des risques toujours actuels de tremblements de terre, ou de cyclones,
    - pour les risques géopolitiques: avec la crainte du développement du terrorisme international, la prolifération des armes de destruction massive, l'augmentation des guerres civiles et inter étatiques, le rejet de la mondialisation, le maintien du crime transnational et de la corruption et l'instabilité au moyen orient.

Différents scénarios de crises sont également étudiés. Des explications sont données par type de risques mettant en évidence le caractère d'interdépendance de ces risques, qui se développent sans tenir compte des frontières des états ni des zones géographiques, comme le montre l'illustration ci jointe, et proposant des innovations institutionnelles, comme la nomination par les gouvernements d'un gestionnaire de risques d'État.

Une prochaine note détaillera les prévisions de la Coface pour 2007 qui complèteront utilement celles ci en se plaçant du côté des entreprises, secteur par secteur, pour qui, on le verra, les risques ne sont pas nécessairement les mêmes!


Risque terroriste:l'économie mondiale surmonte le risque d'attentat

Impact_des_attentats_sur_les_marchs30009 Depuis ceux du 11 septembre 2001, les attentats n'ont pas cessé dans les cinq dernières années, frappant tour à tour l'Europe (la Turquie en 2003, l'Espagne en 2004, le Royaume Uni en 2005), le Moyen-Orient (le Yemen en 2002, l'Egypte en 2004, 2005, 2006, l'Arabie Saoudite en 2003 et 2004), le Caucase et la Russie (en 2002 et 2004), l'Asie du sud est (l'Indonésie en 2002, 2003, 2004, 2005, aux Philippines en 2002 et 2005), l'Asie centrale et du sud (l'Afghanistan de 2002 à 2006, le Pakistan depuis 2002, l'Ouzbékistan en 2004, l'Inde en 2001, 2005 et 2006).
Malgré cela, l'économie mondiale a survécu et les principaux secteurs affectés, à l'exception du secteur aéronautique qui continue à perdre de l'argent (plus de 40 milliards de dollars de pertes accumulées depuis 2001, 1,7 milliard de pertes attendues cette année malgré les efforts considérables de productivité), l'assurance et le tourisme ont su prendre les bonnes mesures pour se renforcer et anticiper le pire.
    - les marchés financiers ne se sont aujourd'hui jamais aussi bien portés depuis 2001: comme le précise Marina Alcaraz dans le quotidien économique les Echos du 11 septembre dernier, ils "ont appris à vivre avec le risque d'attentat":aux Etats Unis, fermeture des marchés, injections massives, abaissement du principal taux directeur de 50 points de base...ont permis d'éviter le krach attendu. et depuis, le temps nécessaire aux marchés pour revenir au niveau initial est passé de 23 jours en septembre 2001 à 3 jours après les attentats de Londres en juillet 2005, comme l'indique l'illustration ci jointe extraite de l'article.
    - le secteur de l'assurance a été lourdement touché par les attentats qui lui a coûté 34 milliards de dollars.Les assureurs se sont remis en question après le choc subi des indemnités à verser qui ont impacté de façon inattendue de très nombreuses branches, comme le détaille Guillaume Maujean dans un article du même quotidien intitulé "les assureurs ont appris à anticiper le pire". "Tous les scenarii catastrophe ont "été passés au crible...ce pour toutes les formes de risques....Les assureurs se sont employés à imaginer l'inimaginable".
    - le tourisme mondial: les attentats tout comme le SRAS et les menaces d'autres épidémies ont été apparemment digérés selon l'Organisation Mondiale du Tourisme: sauf en 2001, où les chiffres avaient baissé, le nombre de visiteurs internationaux aurait augmenté de près de 6% par rapport à 2004 et la croissance serait de 4,5% pour le début de l'année 2006; la fréquentation hôtelière aurait retrouvé son niveau d'avant les attentats de 2001.
Malgré ces constats rassurants, il faut continuer à vivre avec le risque terroriste et l'éventualité d'autres drames qui pourraient affecter nos économies.

Le nombre d'attentats déjoués le prouve, le dernier en date celui d'août dernier au Royaume Uni montre que cette guerre n'est pas finie. Les Etats Unis, victimes du 11 septembre à leur tour victimisent par leur attitude d'autres populations (irakiens, afghans...). Ils reçoivent en "boomerang" d'autres haines et changent dangereusement l'équilibre du monde.
Ci dessous deux des articles cités des Echos:
Téléchargement les_marchés_financiers_après_le_11_septembre du samedi_23_septembre_2006_in_les_echos.doc
Téléchargement assurance_et_terrorisme samedi_23_septembre_2006.doc

Vous venez de lire la 100 ème note de ce blog!